Dans ce chapitre, nous allons étudier plusieurs situations relevant des méthodes théoriques et numériques présentées dans les chapitres précédents.
Nous approfondirons le cas test qui nous a servi d'exemple récurrent dans les chapitres précédents, à savoir l'agrégat Na, pour lequel nous comparerons les résultats obtenus avec ou sans restriction à la symétrie axiale, dans les régimes linéaires comme non-linéaires. Les spectres calculés seront alors comparés aux résultats expérimentaux.
Nous passerons alors à un cas moins simple, celui de Na. L'état fondamental de cet agrégat présente une forte concurrence entre plusieurs isomères, et nous démontrerons la précision de notre méthode et de son implantation en comparant les spectres obtenus aux résultats expérimentaux.
Nous envisagerons ensuite la dynamique des électrons de valence d'agrégats déposés sur une surface. Dans cette situation, (dont la modélisation repose essentiellement sur les travaux de C.Kohl et P.-G. Reinhard) nous avons pu confirmer la possibilité de distinguer par la forme de leur résonance plasmon les différents isomères possibles pour de tels agrégats déposés.
Puis, nous aborderons un exemple de simulation avec fond ionique mouvant par dynamique moléculaire. Nous présenterons différents tests de précision de la méthode, et donnerons un exemple de simulation du transfert aux degrés de liberté ioniques de l'énergie déposée par une impulsion laser femtoseconde dans un agrégat Na.
Nous présenterons enfin le spectre obtenu pour la résonance électronique dans un agrégat de carbone linéaire. Dans ce dernier cas, nous ferons usage de pseudopotentiels non-locaux.
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